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  • Version présentée à l’École nationale supérieure de la photographie (Arles), 2020.

Description

  • Installation vidéographique, affichage francophone
  • Technique : écrans artisanaux, lentilles de Fresnel, vidéo numérique (couleur, sans son)
  • Année : 2020
  • Durée : cycle approximatif de 3 minutes
  • Taille : variable

Cette installation examine les déplacements énigmatiques d’une communauté errante dans un environnement désertique. Inspiré à la fois par le caractère prospectif de l’imagerie opératoire d’Harun Farocki et la dimension prémonitoire du roman « Le dernier homme » de Mary Shelley (1826), la scène suggère une impression oscillant entre la surveillance compulsive du territoire et un regard mélancolique sur un paysage minéral.

This installation examines the enigmatic movements of a wandering community in a desert environment. Inspired both by the forward-looking nature of Harun Farocki’s operational imagery and the premonitory dimension of Mary Shelley’s novel The Last Man (1826), the scene suggests an impression that oscillates between compulsive surveillance of the territory and a melancholic gaze upon a mineral landscape.


Documentation vidéo

  • Version présentée à l’ENSP en 2020.

Diffusion

  • imprints [empreintes], Festival Ars Electronica, Linz (Autriche), exposition collective du 6 au 10 septembre 2023.
  • In-vivo, camp de base 1, exposition collective à l’École nationale supérieure de la photographie (Arles), du 28 février au 6 mars 2020.

Collaboration

  • Coréalisation : Guillaume Pascale

Soutien

  • Fonds de recherche du Québec – Société et culture
  • Université du Québec à Montréal

Remerciements

  • Caroline Bernard, laboratoire Prospective de l’image, ENSP.
  • École nationale supérieure de la photographie